URGENT - A DIFFUSER LARGEMENT AUPRES DE TOUS LES PROPRIETAIRES DE CHEVAUX dans la drome !!!
En l'espace d'un mois (novembre 2011) et dans un rayon d'environ 5 km, 4
chevaux sont morts dans des circonstances mystérieuses présentant
d'inquiétantes similitudes : chaque fois, les faits se sont déroulés la
nuit, et les propriétaires ont retrouvé leur cheval très mal en point
ou déjà décédé au petit matin ; chaque fois, les clôtures ont été
cassées à plusieurs endroits (piquets pliés, rubans cassés...). Et
chaque fois, plusieurs chevaux ont été retrouvés affolés, certains
littéralement trempés de sueur, comme si on les avait fait courir.
A ce jour, quatre chevaux sont morts :
- à l'élevage Peyron, à Chamaret, Marie-Catherine Peyron a perdu deux juments pleines.
- à Margerie, M. Labajot a retrouvé morte sa jument camargue, couverte
de sudation. Il y avait des ânes avec la jument, visiblement terrorisés.
Le propriétaire a mis trois jours avant de pouvoir les approcher de
nouveau.
- hier matin à Richerenches, Robert Juvin a retrouvé son
quarter horse comme tétanisé, pétrifié, incapable de marcher. Le cheval
s'est couché et est décédé 24 heures après.
- ce matin, William
Coulomb a trouvé ses clôtures cassées près de La Bégude-de-Mazenc et les
chevaux affolés, mais aucun décédé.
Dans tous les cas,
les vétérinaires ont été formels : aucun symptôme de colique.
Marie-Catherine Peyron a demandé une autopsie et envoyé la tête, le foie
et les intestins des juments décédées. Le laboratoire n'a trouvé aucune
cause médicale au décès (pas de virus, épidémie, méningite etc.) et a
conclu (après analyse de la cervelle) que les chevaux n'étaient pas
morts d'ingestion ou de colique, mais d'une électrocution qui avait
détruit le système nerveux.
Un prélèvement de liquide
céphalorachidien a également été effectué sur le quarter horse de Robert
Juvin (résultats en attente).
Les propriétaires ont porté plainte contre X.
EN RESUME, à ce jour il s'agit seulement de constatations et il n'y a
aucune preuve permettant d'accuser qui que ce soit. Les causes
pourraient être médicales, et encore méconnues. Néanmoins, face au
mystérieux diagnostic d'électrocution du laboratoire et à la
similitude des circonstances (chevaux affolés, clôtures brisées...), on
est en droit de se poser des questions sur l'étrangeté de ces
"coïncidences", et donc sur l'éventualité d'un acte malveillant. Se
pourrait-il qu'il s'agisse d'actes volontaires et barbares - peut-être
effectués au moyen d'un pistolet "taser" ? Ce ne serait hélas pas la
première fois que des chevaux au pré seraient victimes de violences ou
mutilations.
Dans tous les cas, soyez très vigilants, surtout
si vous avez des chevaux accessibles depuis la voie publique (à chaque
fois, les chevaux décédés étaient en bord de route ou de chemin, et
visibles de la route).
Merci de diffuser cette information le
plus largement possible auprès des propriétaires de chevaux, mais aussi
vétérinaires, maréchaux-ferrant, etc.